29 août 2009

L'épée lige - George R.R. Martin

L'épée lige
George R.R. Martin

Prélude au Trône de fer
Nouvelle tirée de l'anthologie "Légendes de la fantasy 1" de Robert Silverberg, J'ai lu - 507 pages.
Nombre de pages de la nouvelle : 141 pages



Résumé :

Un an plus tard, Dunk et l'Œuf, désormais son écuyer, s'engagent au service de Ser Eustace Osgris, un petit seigneur acculé à la défaite par la Veuve Rouge. Leur mission, déjà ardue, va se compliquer du fait des relations qu'entretiennent les deux forces en présence !


Mon avis :

Vous trouverez ma critique de la première nouvelle, Le chevalier errant, ici.

Voici donc la deuxième nouvelle que j'ai lu dans le cadre de la lecture commune du Cercle d'Atuan.

Après avoir lu et énormément apprécié Le chevalier errant, je m'attendais à mieux. En effet, je n'ai pas été séduite par cette nouvelle. On y découvre Dunk et l'Oeuf une (ou deux ??) année(s) après la fin du tournoi de la première nouvelle.
Je n'arrive pas à résumer l'histoire, certainement parce que je n'ai pas compris toutes les subtilités... Mais en gros, c'est un barrage qui empêche l'irrigation de la rivière qui crée un conflit entre deux... "Seigneurs" ?? entre deux protagonistes dira-t-on ^^

J'avoue avoir eu beaucoup de peine à entrer dans l'histoire. Beaucoup de passages m'ennuyaient, alors que d'autres me "passionnaient". Certains dialogues étaient incompréhensibles, sans intérêts, alors que j'en suivais d'autres avec une grande attention et curiosité. Je précise que ceci n'est pas du au découpage prévu par le Cercle, car même dans une seule partie j'avais ces deux sentiments mélangés.
Je passais donc souvent d'un ennui total à un intéret réel.
Les dialogues entre Dunk et la Dame, et Dunk et l'Oeuf sont en général ceux qui m'ont le plus plu.
La fin m'a également beaucoup plu, mais à nouveau, elle contenait des irrégularités, des choses intéressantes et d'autres non.

Le style d'écriture est toujours plaisant, et point positif par rapport au Chevalier errant, il y a quand même moins de noms et de maisons à retenir. J'ai trouvé certains passages très drôles, en particulier cette réplique :

- Je suis un écuyer, pas un palefrenier, s'insurgea l'Oeuf. Tu es aveugle ou simplement stupide?
L'imberbe éclata de rire. La barbe poussa la pointe de sa pique contre la gorge du petit.
- Redis-le-me-le."

Je pense par contre que pour cette nouvelle, avoir lu le Trône de Fer est conseillé. On y trouve en effet pas mal d'informations sur le passé que j'ai eu de la peine à comprendre, mais qui a peut-être plus parlé aux adeptes du Trône de Fer.

En résumé donc, j'ai trouvé cette deuxième nouvelle bien en dessous de la première, mais ce n'était tout de même pas un navet. Il y avait en effets pas mal de passages éparpillés par ci par là qui m'ont enchantée.
Et cette nouvelle ne refroidit en rien mon envie de lire le Trône de fer .

Livre agréable



Vous trouverez l'avis d'autres lecteurs du Cercle d'Atuan ici :
Arutha
Daenerys
El JC
Olya (qui a d'ailleurs encore une fois pratiquement le même avis que moi ^^)
Tortoise
Vert

28 août 2009

Bouquiner - Annie François

Bouquiner
Annie François

Points - 199 pages


Résumé :

Dis-moi comment tu lis, je te dirai qui tu es. Tel est le petit jeu, apparemment anodin, auquel se livre Annie François. Car le plaisir de lire est un plaisir sensuel autant qu'intellectuel. Des simples habitudes de lecture aux tics dans lesquels chacun se reconnaîtra, le bonheur de "bouquiner" est magnifiquement mis en lumière par une bibliovore passionnée, espiègle et tendre.


Mon avis :

Ce livre nous présente les habitudes de lectures, les manies, les tics d'Annie. D'ailleurs, son mari s'appelle François, j'ai trouvé ça plutôt bizarre... Bref, ce n'est qu'un détail ^^C'est vite lu, c'est facile à lire, c'est rafraichissant, on se reconnaît parfois, d'autre fois, ses habitudes nous horripilent. Annie aime casser le dos du livre, je déteste ça. Pour lui faire plaisir (hum ^^), je l'ai fait avec son livre. A chaque page, je l'ouvrais grand afin de bien plier le dos... Et je confirme, je n'aime pas ça !

Bref, je m'égare à nouveau. Ce que j'ai apprécié dans ce livre, c'est quand j'ai pu me comparer à l'auteur, voir si je faisais la même chose ou pas. Il s'est avéré que je suis assez différente d'elle, du coup, je me suis un peu ennuyée. J'ai justement beaucoup aimé ce passage car il m'a rappelé une situation qui m'avait bien fait rire:
Ainsi, je ne supporte pas qu'on regarde le titre de mon livre [...] Obsédé par ce regard inquisiteur ou curieux - rarement bienveillant - qu'on fait semblant d'ignorer, on fait aussi semblant de lire, on perd le fil, on rouscaille in petto. Pourtant, ou a échappé au pire, au redoutable "Et qu'est-ce que vous lisez" qui prélude à la drague. Il n'y a que deux cas de figure : le séducteur a soit la trogne du demi-crétin qui n'a jamais lu qu'un plan de métro, soit l'air infatué du khâgneux regardant un élève de terminale.
J'ai personnellement eu droit à pire : une vrai tête de crétin qui ne me demandait non pas ce que je lisais mais : "C'est un bouquin que tu lis ??" Non mais j'étais censée répondre quoi ? Non, c'est un DVD ?
J'ai eu la malchance de le recroiser dans le train dans les semaines qui suivaient. La dernière (je ne l'ai plus revu depuis), il a eu la bonne idée non pas de me demander mon numéro, mais de me proposer le sien. Du coup, pas eu besoin de refuser, je l'ai pris et l'ai effacé dès qu'il est sorti du train ^^ (houuuuu la vilaine !)

Je m'égare à nouveau... Tout ça pour dire que c'est dans ce genre de situation que j'appréciais vraiment le livre, à savoir quand ça m'est également arrivé ou quand je me reconnaissais.
Mais l'auteur a des habitudes bien différentes des miennes, du coup, je n'ai que moyennement apprécié, bien que j'ai trouvé intéressant de découvrir ses manies. Certains passages m'ont quand même fait sourire.
Je n'ai par contre rien trouvé de particulièrement spécial au style, mis à part qu'elle utilise des mots parfois incompréhensibles (par exemple "l'air infatué du khâgneux regardant un élève de terminale." que j'ai cité un peu plus haut. Annie cite également beaucoup de titres de livres, n'en ayant lu pratiquement aucun, ça n'aidait pas à la compréhension.

Bref, j'ai passé un agréable moment, mais sans plus.

Livre agréable

27 août 2009

Into the wild - Jon Krakauer

Into the wild
Jon Krakauer

10/18 - 281 pages


Résumé :

Toujours plus loin. Toujours plus au nord. Toujours plus seul. Inspiré par ses lectures de Tolstoï et de Thoreau, Christopher McCandless a tout sacrifié à son idéal de pureté et de nature. En 1990, une fois son diplôme universitaire en poche, il offre ses économies à une association caritative et part, sans un adieu, vers son destin. Celui-ci s'achèvera tragiquement au coeur des forêts de l'Alaska...
Jon Krakauer évoque aussi à travers cette échappée belle ceux qui, un jour, ont cherché à quitter la civilisation et à dépasser leurs limites. Magistralement porté à l'écran par Sean Penn, Into the Wild s'inscrit dans la grande tradition du road-movie tragique et lumineux, une histoire aux échos universels.


Mon avis :

J'ai lu ce livre car j'avais entendu beaucoup de bien sur le film, que j'avais du coup énormément envie de regarder. Au début, je ne savais pas que c'était l'adaptation d'un "roman", et encore moins que c'était une histoire vraie (d'ailleurs, même avec le livre en mains j'ai du aller voir sur internet si ce Christopher a bel et bien existé. Dommage que le livre ne précise pas "inspiré d'une histoire vraie" ou "biographie de Christopher McCandless"...
J'ouvre donc ce livre, et, grosse déception, le décès d'Alex alias Christopher est annoncé dès les premières pages, même sur la quatrième de couverture d'ailleurs. J'aurais préféré ne le savoir qu'à la fin et ainsi laisser l'espoir planer sur son histoire.
Ce bouquin nous raconte donc la vie de Christopher, renommé par ses soins Alexandre Supertramp. Son rêve : découvrir la vie sauvage en Alaska, et ce, avec comme moyens de survie que le strict minimum. L'auteur se base principalement sur des témoignages et le journal que tenait Christopher. Il nous raconte comment il a échappé à la vie de tous les jours pour se lancer dans sa grande aventure.
Bien qu'au premier abord Christopher ait pu paraître asocial, les témoignages prouvent qu'il répandait plein de bonheur aux gens qui l'entouraient. Le plus flagrant étant celui de Je sais plus son nom qui lui a proposé de l'adopter. Christopher était quelqu'un qui marquait la mémoire et le coeur des gens.

Dans ce livre, Krakaueur nous raconte non seulement l'histoire de Christopher, mais également celle d'autres aventuriers ainsi que sa propre expérience. J'avoue que j'aurais préféré n'y lire que l'histoire de Chris. Non pas que les autres n'étaient pas intéressantes, au contraire, mais j'ai eu l'impression qu'elles étaient là pour faire du remplissage afin d'avoir un livre de plus de 100 pages. Son histoire à lui, Krakauer, m'a beaucoup plu, seulement, j'ai trouvé qu'il mettait beaucoup trop de pages pour la raconter. Celle des autres personnages, je les ai déjà oubliées.
Autre point négatif : j'ai trouvé que son histoire n'était pas racontée assez linéairement, on sautait un peu trop du coq à l'âne. Le film, pour ce côté là, était bien meilleur et j'ai trouvé plus simple de suivre son parcours de cette manière.
Les extrait de livre soulignés par Christopher m'ont au début bien plu, je les lisais avec plaisir, mais vers la fin du bouquin, je les lisais en diagonale voire même pas du tout. J'ai par contre adoré les courts extraits de son journal et des traces qu'il a laissées.

Bien que connaissant déjà la fin du film, j'ai tout de même eu besoin de mon paquet de mouchoirs. J'ai trouvé le film très émouvant et poignant. Je n'ai pas ressenti ça en lisant le livre.

En résumé, l'histoire de ce personnage atypique m'a réellement touchée malgré les controverses qu'on a pu entendre à son sujet. Il a tout laissé tomber du jour au lendemain pour vivre son rêve, son idéal. Peu de gens osent le faire.
A propos de son histoire donc, rien à redire, j'ai adoré.
Ce qui m'a plus dérangé, c'est la manière dont Krakauer a raconté son parcours ainsi que celui des autres. J'aurais préféré n'y voir que celui de Christopher.

Livre agréable

16 août 2009

Le chevalier errant - George R.R. Martin

Le chevalier errant
George R.R. Martin

Prélude au Trône de fer
Nouvelle tirée de l'anthologie "Légendes" de Robert Silverberg, J'ai lu - 889 pages.
Nombre de pages de la nouvelle : 100 pages



Résumé :

Qu'il joute ou qu'il guerroie, le chevalier errant n'a d'autres attaches que celles de son cœur, d'autre code que celui de l'honneur. Il loue ses services aux nobles causes et prend la défense des opprimés. Une ligne de conduite qu'a toujours suivie Ser Arlan de Pennytree, et qu'il s'est efforcé d'inculquer à son écuyer, Dunk. Mais la rencontre de ce dernier avec un garçon étrange, qui se fait appeler L'Oeuf, changera à jamais son destin.


Mon avis :

Livre lu dans le cadre de la lecture commune du Cercle d'Atuan.

Je précise que je n'ai pas encore lu le Trône de Fer, c'est donc avec des yeux "neufs" que je m'y suis plongée.
Le principe du cercle d'Atuan, c'est de couper nos lectures en plusieurs parties (normalement en chapitres, mais étant une nouvelle, celle-ci n'en contient pas) et de les critiquer au fur et à mesure de la lecture. Ces coupures étant souvent en plein milieu d'un dialogue ou d'une description, je n'ai pas trouvé aisé de m'arrêter... Et en plus, je voulais en savoir plus ! J'étais souvent prise dans l'histoire et il m'était difficile de m'arrêter.

Cette histoire nous présente Dunk, chevalier errant désirant remporter un tournoi (ou au moins un combat) afin de montrer sa valeur. Mais voyageant beaucoup entre les royaumes, les chevaliers errants ne sont pas connus pour leur richesse. Il a donc du se débrouiller tant bien que mal pour trouver un équipement. Il n'a par contre eu aucun problème pour trouver son écuyer, l'Oeuf, qui est venu de lui-même à Dunk.
J'ai beaucoup aimé suivre ces deux personnages au fil de cette nouvelle. Dunk a de vraies valeurs de chevaliers, que certains autres n'ont malheureusement plus. L'Oeuf m'a également beaucoup intéressée. Dès le début, je l'ai beaucoup aimé : il semble déjà courageux et sûr de lui.
Le "combat final" en valait également la peine, malgré les sacrifices qui ont été nécessaires (je ne dévoilerai rien, mais ceux qui l'ont lu devraient me comprendre).

Le style d'écriture est fluide et très plaisant, ça se lit à une vitesse folle. Le seul point négatif que j'ai trouvé, c'est tous les noms de personnages, les différentes familles et liens de parenté. Les noms se ressemblent beaucoup, certains sont imprononçables, j'avoue avoir abandonné d'essayer de comprendre qui était le frère, le fils de qui, qui aspirait à quoi etc. Pour 100 pages, je trouve qu'il y avait un peu trop de noms à assimiler.

Mis à part ce côté négatif donc, j'ai été séduite par le style de Martin et j'ai de plus en plus envie de découvrir le Trône de Fer (qui m'attend déjà depuis un bail sur ma bibliothèque !). Cependant, j'ai déjà quelques cycles en cours et je n'ai pas envie d'en avoir trop en même temps, je pense donc que je patienterai, même si la tentation est très grande !
Je posterai la critique de la deuxième nouvelle, à savoir l'Epée lige, vers la fin du mois d'août voire début septembre.

Un grand merci à tous ceux du Cercle d'Atuan qui m'ont permis de découvrir cet auteur !

Livre génial



Voici où trouver les différents avis des autres membres :
Arutha
Daenerys
El JC
Olya
Tortoise
Vert

15 août 2009

Abarat, tome 1 - Clive Barker

Abarat
Clive Barker

Tome 1
Le livre de Poche - 471 pages


Résumé :

Candy Quackenbush s'ennuie à Chickentown, petite ville triste de l'Amérique profonde. Jusqu'au jour où elle pénètre par hasard dans le royaume magique d'Abarat, un archipel composé de vingt-cinq îles mystérieuses aux étranges habitants. Au fil de rencontres merveilleuses, émouvantes ou terribles, Candy va découvrir pourquoi cet univers lui semble curieusement familier et pourquoi elle se sent prête à y affronter tous les dangers...
Clive Barker signe avec Abarat une Œuvre majeure dans la lignée du Magicien d'Oz. Un magnifique livre contenant plus de cent illustrations en couleurs réalisées par l'auteur lui-même. Disney, séduit par cet univers aussi bien graphique que romanesque, prévoit une adaptation cinématographique, une série télévisée, un jeu vidéo et la construction d'un espace interactif à Disneyworld.


Mon avis :

Ce livre est "parsemé" de près de 100 illustrations. C'est à mon sens le gros plus de ce bouquin, elles sont en effet sublimes et m'ont permis de mieux m'imaginer ce monde ahurissant qu'est l'Abarat.
Cet univers bien à part est en effet plein de descriptions sur ses habitants et ses lieux. J'avoue que parfois, j'en faisais une overdose, tout était un peu trop... (je trouve pas le mot)... hallucinant, impossible, inimaginable. Tous les personnages sont plus étonnants les uns que les autres, ce qui est évidemment une qualité, mais au bout d'un moment, j'avais de la peine à me les imaginer. Les illustrations m'ont donc grandement servi, dès que je tournais la page et qu'il y en avait une, je me disais "Ouaaaahhhh ! Que représente-t-elle, celle-là?". Je me répète, mais elles sont magnifiques.
Sans elles d'ailleurs, je crois que je n'aurais que très moyennement apprécié l'histoire. Celle-ci est à mon goût un peu trop "naïve" : une fille de je ne sais plus quel âge se retrouve malgré elle dans un monde qui à première vue n'existait pas. Là-bas, elle va y rencontrer plein de créatures toutes plus surprenantes les unes que les autres et dont tout le monde sauf elle va penser qu'elle n'est pas arrivée là par hasard, mais bien pour accomplir son destin. Et au final, comme ce n'est que le premier tome (chose que j'ignorais lors de l'achat), on n'en découvre pas plus, bien que le tout premier chapitre m'a quand même fait tilter.

En résumé donc un livre qui vaut le détour pour ses illustrations, je n'ai par contre pas trouvé l'histoire extraordinaire bien que le monde d'Abarat m'a séduite.

Livre agréable

4 août 2009

Harry Potter, tome 6 : Harry Potter et le prince de sang-mêlé - J.K. Rowling

Harry Potter et le prince de sang-mêlé
J.K. Rowling

Tome 6 d'Harry Potter
Folio Junior - 747 pages


Résumé :

Dans un monde de plus en plus inquétant, Harry se prépare à retrouver Ron et Hermione. Bientôt, ce sera la rentrée à Poudlard, avec les autres étudiants de sixième année. Mais pourquoi Dumbledore vient-il en personne chercher Harry chez les Dursley ?
Dans quels extraordinaires voyages au coeur de la mémoire va-t-il l'entraîner ?


Mon avis :

J'ai relu ce livre afin de "pouvoir" aller le voir au cinéma. Ca m'a pris plus de temps que prévu, je comptais le lire en diagonale pour me rappeler les trucs importants mais pas possible, je voulais vraiment tout lire.
Et j'avoue avoir préféré ma première lecture à celle-ci. En effet, je l'ai trouvée un peu trop "gnan gnan" avec toutes ces histoires d'amourette et de jalousie. Par contre, j'ai énormément apprécié les moments passés avec Dumbledore.
J'avais oublié certains détails, ça m'a fait du bien de me les remémorer !
La fin m'a à nouveau énormément touchée, même si je la connaissais déjà. C'est d'ailleurs la partie du livre que j'ai préférée (un peu plus que les 100 dernières pages).

Bien que ce livre soit classé dans la catégorie jeunesse, ce 6ème tome est à mon avis plus sombre que les précédents et peut certainement plaire également à un public plus âgé (il y a juste ces amourettes qui gâchent un peu l'histoire...)

Livre génial